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Baise au téléphone

- Allô ! Tu es là ? Je t’attendais depuis un moment. Ton coup de fil d’hier soir m’a laissée sur ma fin. J’ai dû me finir toute seule après que tu as raccroché si rapidement. C’est dommage, je préfère quand on jouit ensemble. Là, je m’en suis donné à cœur joie mais ce n’était pas pareil. Heureusement, j’ai eu un autre appel un peu plus tard qui a été plus fructueux. Une bonne salope qui m’a bien fait jouir aussi. Tu sais que j’aime également les filles ? Je te l’ai déjà dit. Je les trouve souvent plus vicieuses encore que vous, les mecs. Du moins, celles qui osent m’appeler. Qu’est ce qui t’amènes ce soir ? Tu es toujours aussi seul et excité ? Tu as besoin que je te fasse l’amour ? Tu veux baiser ? C‘est ça dis, tu veux que je te donne mes trous à défoncer ? Ta queue est déjà grosse ?

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Masturbé par une jeune cliente au bureau

Joignant le geste à la parole, Sandy commence à me limer consciencieusement avec sa petite main. Elle fait aller et venir son poing sur ma queue dressée au garde-à-vous entre mes cuisses. Elle décalotte et recalotte alternativement le gland, doucement, avec application. De son autre main, elle tire un peu sur mon slip pour le faire passer sous mes couilles trop pleines. Instinctivement, je lui facilite le travail en levant les fesses du siège un instant. J’ai maintenant la bite complètement à l’air libre, serrée par ma jeune cliente qui fait coulisser, délicatement mais fermement, ses doigts agiles sur la hampe veineuse. Sandy s’est agenouillée à côté de mon fauteuil et branle mon sexe avec détermination. Elle paraît aguerrie à ce genre de pratique et ses attouchements me procurent un réel plaisir.

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Niquée par les ouvriers de mon mari

Les deux queutards ne se font pas prier. Déjà, je sens glisser sur mon petit abricot rasé le bout du gland de Philippe. Le vicieux cherche à badigeonner ma fente tout entière avec la mouille que je commence à sécréter. Son nœud, bien lubrifié grâce aux manipulations d’Olivia coulisse sur le sillon rose de ma chatte. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent peu à peu sous la divine caresse. Je suis certaine que ce cochon fait durer le plaisir pour mieux me préparer à jouir. Je sens ma vulve qui s’écarte doucement pour laisser entrer l’engin qui va me bourrer à fond d’ici peu. Philippe est le mieux membré des trois ouvriers. L’autre jour, quand il m’a fourré sa queue tout au fond du cul, j’ai joui comme jamais. Mon petit trou s’en souvient encore. Aujourd’hui, il va falloir qu’il se contente de ma moule.

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Ma toute première sodomie

Silvio m’a laissée souffler peu de temps. Il est vite revenu à la charge. J’étais couchée sur le ventre, sur son lit. Il s’est mis derrière moi et a commencé à me pétrir les fesses en douceur. Instinctivement, j’ai écarté les cuisses, comme pour lui demander d’aller me caresser la chatte par derrière. Il ne s’en est pas privé, malgré le fait que son sperme s’écoulait encore de mon trou, mêlé à ma mouille surabondante. Il a appuyé sur le matelas qui s’est abaissé et il a pu ainsi venir me fourrer deux ou trois doigts, je ne sais plus très bien, directement dans la moule. J’étais déjà en train de m’exciter à nouveau. Mon bas-ventre se soulevait, de même que ma croupe, pour lui faciliter le passage.

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Enfin dépucelée !

J’ai passé mes jambes derrière le bas du dos de mon collègue et j’ai posé mes pieds sur ses fesses. Je voulais le sentir tout au fond de moi. Sa verge était grosse et longue à la fois. Je me félicitai intérieurement d’avoir jeté mon dévolu sur lui pour me déniaiser. Il se mit à me pilonner sur un rythme régulier après avoir trouvé sa place dans ma grotte. A chaque aller et retour de son phallus, je le sentais qui frottait contre mes grandes lèvres et ça me faisait énormément de bien. Tout autant, d’ailleurs, que la butée de son gland au fond de mon trou. Mais le plus terrible, c’était le contact de mon petit bouton sur la hampe veineuse qui me défonçait. J’ai un clitoris très sensible et il suffit souvent que je le caresse pour me faire partir dans un orgasme intense.

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